Je viens de terminer le dernier tome du Combat Ordinaire.
Fait chier.
À peu de choses près un copié/collé de mon intérieur cranien, encore.
M'a encore fait rire un peu et brailler pas mal.
C'est pas rien, moi qui suis tout chesse en dedans.
Et tout ce que j'ai maintenant en tête c'est:
"C'est pas les œuvres, Ducon, qui doivent faire trembler les murs, c'est les gens, une fois que les œuvres les auront fait trembler."
Le nœud reste entier, mais faut pas blâmer l'art, faut blâmer le con.
C'est bien moi ça, cynique un soir, utopiste le lendemain, con la plupart du temps.
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