jeudi 25 septembre 2008

Lambeaux

Que la personne qui a décidé que regarder la télévision était plus intéressant que de regarder la braise rougir sous l'effet du vent se lève, et admette que c'était ça le but.
Abrutir.

Je suis pas complètement revenu de mes vacances, pour tout vous dire.
Tout le monde l'avait remarqué, fallait que je le dise pareil.





16 commentaires:

Mek a dit…

Woah.
Je seconde.

Je pense que c'est ça, le truc, pour sortir de l'absurde. Ne pas revenir. J'ai réalisé ce matin à quel point je ne suis plus dans l'armée. C'est peut-être ça qui me fait freaker !

Doparano a dit…

Moi j'essaie de toujours avoir au moins ma tête en vacances, le corps lui il me gagne des sous pour y retourner.

Ça marche pas tout le temps mais ça vaut la peine d'essayer.

Yvan a dit…

Je recommence lundi et déjà je sens le "blues de l'heure des quilles" m'envahir tranquillement.

Pas hâte de me voir Dimanche...

Gomeux a dit…

Ouaaaaaaah! Stie, est bonne!
Moi dans le temps, c'était le blues, que dis-je, la psychose des Beaux Dimanches.
Cte musique là me rendait down instantanément, pour la semaine.

Miléna a dit…

Hihi, tu m'étonnes! La musique des Beaux Dimanches, c'était la pluie grise et froide, l'appréhension du lever du corps à 6h dans le frette, l'omelette au fromage jaune que m'man faisait pour souper parce que ça lui tentait pas de cuisiner. Les Beaux Dimanches... stie que c'tait plate!

McDoodle a dit…

Après la pluie des beaux dimanches, la flaque.

gaétan a dit…

Pour moi aussi l'idée d'être en vacances c'est de décrocher du quotidien. De se désabrutir de la télé mais aussi s'aérer les neuronnes de la désinformation des médias.
Le blues du lundi matin pas avant le dimanche au soir s.v.p. et puis il dure moins longtemps que le ''enfin vendredi '' qui lui dure toute la journée. Y aussi le jeudi jour de paie qui a un certain intérêt. Finalement y a que le mardi et le mercredi dont j'ai rien à foutre. Ainsi la semaine de travail devrait être les lundis,jeudis,vendredis et congé les samedis et dimanches.

Anonyme a dit…

Gamel si tu le vuex paux tu nous raconter un peu ton itinéraire ? et les points forts de ce voyage. Si je me souviens bien tu as aimé les frites, mais que tu n'as pas goûté à celle du petit autobus à la sortie de Baie-Saint-Paul sur la route qui méne à Saint-Hilarion.

Gomeux a dit…

Bonne idée Dan.
Jvas en finir une fois pour toute, m'exorciser!
Et t'as raison, j'ai pas gouté à celle du petit autobus.

Yvan a dit…

Dimanche 19:52. Blues du câlisse.
J'me ramasse à cuillère.
Te l'avais dit: Les Beaux Dimanches+ l'heure des quilles= recette blues infaillible.
;-)

Gomeux a dit…

Cocktail soporifique mortel...

Yvan a dit…

...L'être humain n'est pas fait pour le "travail", mais la distraction obsessionnelle.

Misko a dit…

Si vous voulez vraiment vous achever,
essayez d'écouter plus que six secondes du thème musical de "Another World" ou As The World Turns" ou j'sais plus trop. Yeink à y penser crisse, le sourire m'inverse de dégoût...

:)

Mek a dit…

Pour ça, moi, y a ben yink la face de Sting…

Gomeux a dit…

Woah, bienvenue chez nous Misko!
Pour le thème de Another World, je pourrais pas te dire, chu pas cablé pis la tivi est fermée anyway.
Jvas checker ça sul net, vouère.

&, ouan, Sting dans une pub de Microsoft.
Sting dans une annonce de Yoga.
Sting et ses polices.

C'est l'heure des confidences.
Moi, Sting me déprime parce qu'il me rappelle ce que j'étais avant, un fantôme à Amqui qui écoute Sting pour écouter autre chose que du métal. C'était suffisant pour me faire à croire que j'étais mélomane.
Eurk.
Je dégouline de guimauve juste d'y penser.

Misko a dit…

Ouain, moi aussi la télé, pus capable. Sauf les soirs, quand je rejoins ma blonde (femme en fait, mais dit d'même c'est plus eeuuh... amusant mettons), quand on se frotte les pieds. Mais une heure devant l'Hypno-boîte, c'est pas mal tout ce que je peux. Même si
c'est "Mélinda" (Jennifer Love-Hewitt), pis ses fantômes...

By the way, faites très attention si vous vous risquez à écouter ces fameux thèmes. Moi, à chaque fois, j'ai la sensation que mes neurones décâlissent, et ce, en grands nombres. C'est comme s'ils me disaient: "Bon ben c'est clair que t'as pas besoin de nous, ON DÉCRISSE!".