Le plus grand désavantage de devenir parent, c'est développer une hyper sensibilité à la condition de tous les autres enfants.
Il ne se passe pas une journée où je n'ai pas au moins un pincement de coeur, un moment de rage ou une montée de larmes en voyant la situation, la maladie ou le désarroi d'un ti-cul.
Ça vient me chercher un peu partout, même quand je lis mes nouvelles de hockey.
C'est insidieux, tu commences un truc en te disant que c'est la poutine habituelle du gamin qui idolâtre un joueur et pis non, c'est plus que ça, la lecture se termine et t'as les yeux pleins d'eau.
C'est une des raisons pourquoi j'aime encore tant ce sport.
La simplicité et l'humilité que la plupart des joueurs ont conservées.
6 commentaires:
câlisse. je commence à lire, tout va bien. et puis la face me scrounche d'une shot. mais j'ai lu jusqu'à la fin. t'as raison pour le hockey.
«Let it go, buddy»
Ouch,
yep, drette là.
Asti, chtais déjà de mauvais poil. Les humains pis les chars, ça se mélange bien mal. Bon, j'ai un chat dans la gorge et une poussière dans l'œil.
Dommage qu'on ait pas ce sport là par chez nous...
Mouais, É. Une grosse poussière, ou deux.
Manouche,
deux mots, Cristobal Huet.
Et Philippe Bozon.
Et Stéphane Da Costa.
Bref, si la France s'y mettait sérieusement, elle n'aurait rien à enlever aux autres pays européens.
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