Aawouaarrghaafukasstiabentabarnarnooonpasvrai ahleahc'estfortaahshtidshit... Bang !*
* Je regarde la première, sans l'agrandir et je me dis : Ah! Ces beaux paysages de la Côte-Nord. J'ai passé tout plein d'étés à Port-Cartier. Donc, je suis sur la grève et à ma gauche la mer. Y fait frette. Y'a loin devant moi des rochers comme on en voit partout là-bas avec de maiglelets épinettes pognés sur le lichen et dégarnis par le vent, le sel, l'haleine de béluga, name it. Et les deux cercles, des brulûres de cigs, de la cendre qui traîne ou j'sais pas, probab au développement, un truc qui lui met du vécu en tout cas. Pis là...
Là, j'agrandis. Et ça descend dial-up tranquillos mais du coup, dans l'ciel, j'vois tu pas des briques volantes toé ! Pis là, la craque qui fend jusqu'en bas (oui, j'ai quasi accoucher en voyant ça). J'ai reculé avec ma chaise, incrédule. Pis là, les p'tites herbes au pied du mur. Ah ben crisse.
J'en r'viens pas. J'ai beau savoir que c'est un mur, j'le vois toujours pas quand j'agrandi pas la photo. Right now, j'suis vraiment contente d'avoir le dial-up. J'ai eu le temps de me faire un scénario, de me souvenir, d'entendre, de sentir, avant de frapper un mur.
J'en r'viens pas, j'sais plus quoi dire... mais j'en aurais encore à écrire, dit la fille qui n'aime pas commenter.
Avec tout ça, j'ai oublié de dire que mon trip n'était pas fini. Quand j'ai posé mon premier regard sur la 2e, j'ai vu l'ours en premier !
Tout ça pour dire que c'est la 3e ma préférée.
Celle-là, pas d'hallucinations (quoique j'pourrais me laisser aller) mais j'comprends quand même pas comment tu peux y mettre autant de vie. La lumière, les couleurs !
8 commentaires:
Woah. OUI !
Ah, ce calme.
J'aime les fenêtres rapiécées. Elles stimulent mon imagination. À savoir ce qu'il y a (ou ce qu'il y avait) derrière.
N'est-ce pas?
Aawouaarrghaafukasstiabentabarnarnooonpasvrai ahleahc'estfortaahshtidshit... Bang !*
* Je regarde la première, sans l'agrandir et je me dis : Ah! Ces beaux paysages de la Côte-Nord. J'ai passé tout plein d'étés à Port-Cartier. Donc, je suis sur la grève et à ma gauche la mer. Y fait frette. Y'a loin devant moi des rochers comme on en voit partout là-bas avec de maiglelets épinettes pognés sur le lichen et dégarnis par le vent, le sel, l'haleine de béluga, name it. Et les deux cercles, des brulûres de cigs, de la cendre qui traîne ou j'sais pas, probab au développement, un truc qui lui met du vécu en tout cas. Pis là...
Là, j'agrandis. Et ça descend dial-up tranquillos mais du coup, dans l'ciel, j'vois tu pas des briques volantes toé ! Pis là, la craque qui fend jusqu'en bas (oui, j'ai quasi accoucher en voyant ça). J'ai reculé avec ma chaise, incrédule. Pis là, les p'tites herbes au pied du mur. Ah ben crisse.
J'en r'viens pas. J'ai beau savoir que c'est un mur, j'le vois toujours pas quand j'agrandi pas la photo. Right now, j'suis vraiment contente d'avoir le dial-up. J'ai eu le temps de me faire un scénario, de me souvenir, d'entendre, de sentir, avant de frapper un mur.
J'en r'viens pas, j'sais plus quoi dire... mais j'en aurais encore à écrire, dit la fille qui n'aime pas commenter.
Ouein, y'a l'air de rien.
Merci M. Pâquet.
Avec tout ça, j'ai oublié de dire que mon trip n'était pas fini. Quand j'ai posé mon premier regard sur la 2e, j'ai vu l'ours en premier !
Tout ça pour dire que c'est la 3e ma préférée.
Celle-là, pas d'hallucinations (quoique j'pourrais me laisser aller) mais j'comprends quand même pas comment tu peux y mettre autant de vie. La lumière, les couleurs !
Je m'incline, une autre fois.
décidément, je ne viens pas assez souvent ici.
c'est beau, gomeux.
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Merci Dood, merci Nougat.
Je prépare la suite, j'y expliquerai le "procédé" Dood.
Content que t'aies vu de la couleur dans mon noir et blanc.
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