Loin déjà les beaux jours, doux, fous et fastes de sa verte jeunesse.
Il ne se tient plus sur ses jambes mais demeure fier, debout.
L'arrogance et l'ignorance des jeunes poireaux l'amuse.
Ô comme il se fout de ne pas pouvoir les voir chesser.
Inévitablement, inexorablement, très surement.
Nul ne peut l'ignorer, tous nous chesserons.
Adieu Monsieur Poilu.
4 commentaires:
ouin. C'est vrai qu'il a pas l'air de très bien aller. Il cante dangereusement, et je le trouve plutôt palôt...
Il a bu le même scotch cheap que moi, sans doute. Ça lui passera. Fais-lui boire beaucoup d'eau et arrange-toi qu'il pédale 40 km dans la pluie. Ça replace le canayen… Oups. Désolé. Mauvais timing pour cette blague.
Hrm.
Je le trouve attendrissant tout de même il ressemble à mon Monsieur Patrice :)
Oui, mais tout de même, cette protubérance entre ses pattes, ça n'annonce rien de bon.
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